Comment voir la vie en rose quand on porte un prénom « à coucher dehors », qu’on redouble sa sixième et qu’on est la petite dernière d’une famille dans laquelle le Q.I moyen dépasse les 200 ?
« Cancresse » dans une famille de cracks », voilà comment se définit Iphigénie, qui se sent mal dans sa peau. Il y a bien Lucie, sa meilleure copine qui tente désespérément de lui redonner le moral, mais ce n’est pas suffisant. Iphigénie étouffe, elle est au bord de l’explosion…
C’est à ce moment-là qu’ Adam arrive au collège. Pour Lucie, c’est le coup de foudre direct.
Pour Iphigénie, c’est le début d’une longue enquête…
Pourquoi Adam lui semble si familier ? Quels liens possède-t-il avec Iphigénie pour qu’elle s’en sente si proche ?
Sous le regard interrogateur et sceptique de Lucie, Iphigénie ira jusqu’au bout de ses questions. C’est ainsi qu’elle se découvrira vraiment…
Sélectionné pour le "prix Ravinala du livre voyageur" ( Madagascar) catégorie CM2 6ième 5ième
Qui ne s’est pas un jour posé la question « et si je n’étais pas vraiment l’enfant de mes parents ? ».
C’est en partant de cette idée que j’ai eu envie d’écrire ce roman. Iphigénie ressemble à de nombreuses filles de son âge : en échec scolaire et mal dans sa peau, elle cherche à tout prix un moyen d’échapper à la pression familiale. En s’inventant une autre identité, elle fuit.
Comment vit-on ses premières années au collège quand rien ne va, quand on se sent le « vilain petit canard » de la famille ? Et surtout, comment sortir d’une impasse malgré tout ?
« Une autre que moi » est ma seconde histoire à deux voix. Celle d’Iphigénie qui exprime son mal-être et sa fuite en avant et celle de Lucie, sa meilleure amie, toujours là pour la soutenir, malgré tout.
Un moyen pour moi de dire que rien n’est jamais joué d’avance, et qu’il faut parfois un peu de temps avant de se trouver vraiment…
Pour de bons lecteurs à partir de 10 ans (CM, 6ièmes, 5ièmes)